Institution
Une Agglo utile et attractive, le cap tracé à l'occasion des vœux !
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Des voeux aux personnalités du Grand Périgueux
Ce jeudi 25 janvier 2024, Jacques Auzou, Président du Grand Périgueux, présentait ses voeux au nom du Conseil communautaire, à l'Espace Aliénor, le nouveau siège de l'agglomération. Une centaine de personnalités institutionnelles, politiques, économiques... toutes investies dans le développement du territoire, étaient présentes.
Ses voeux ont été suivis de ceux portés par Germinal Peiro, Président du Conseil départemental de la Dordogne; par la Région Nouvelle-Aquitaine représentée par Delphine Labails; par le Député Sébastien Peytavie; par Nicolas Dufaud, Secrétaire Général de la Préfecture de Dordogne.
"L'Agglo est pour tout le monde"
Jacques Auzou a tenu, en premier lieu, à rappeler sa vision de l'intercommunalité : 43 communes avec, toutes, un rôle à jouer. Riche de plus de 100 000 habitants, soit un quart de la population périgourdine, le Grand Périgueux doit être utile.
"Etre utile, c'est déjà permettre aux jeunes et aux moins jeunes de s'installer ici, précise le Président du Grand Périgueux. Cela passe par créer des emplois, offrir des solutions de mobilité, des crèches et des centres de loisirs, des logements, des formations..."
Un nouveau cadre s'ouvre
En 5 ans, le Grand Périgueux aura investi 177 millions d'€ sur son territoire, et la feuille de route fixée par les élus s'achève.
35 millions d'€ investis chaque année
Un nouveau cadre s'ouvre en 2024 avec le projet de territoire Grand Périgueux 2040. "La mobilité restera parmi les priorités, mais nous voulons également mettre l'accent sur la jeunesse, a expliqué Jacques Auzou. Et le SILÔT est un vrai projet structurant pour garder la jeunesse."
Dans un contexte difficile pour les collectivités
L'agglomération continue d'être tournée sur son développement : reconstruire la ville sur la ville à l'image de la reconquête du quartier de la gare de Périgueux, mais aussi identifier de nouvelles zones pour accueillir les entreprises sur l'ouest de l'agglomération (Sanilhac, Razac-sur-l'Isle, Chancelade et Château-l'Evêque...).
Ce travail est rendu difficile par les nouvelles règlementations, notamment surl'artificialisation des sols. "Le contexte financier, également, est défavorable pour les collectivités".
70% des investissements sont réalisés par les collectivités. Si on ne leur permet pas de poursuivre, le pays risque de le payer...