"Nous défendons la ligne ferroviaire Tulle-Brive-Périgueux-Bordeaux"

Unis pour la ligne ferroviaire Tulle-Brive-Périgueux-Bordeaux

Les communautés d'agglomération Agglo de Brive, Tulle' agglo et le Grand Périgueux se sont réunies le 22 octobre 2021 à Brive la Gaillarde pour montrer leur attachement à la desserte ferroviaire Tulle-Brive-Périgueux-Bordeaux.

Frédéric Soulier, Président de l'Agglo de Brive; Jacques Auzou, Président du Grand Périgueux; Gilles Gauthier, co-président de l'association de défense, Alexandra Froidefond, co-présidente de l'association de défense et Michel Breuilh, Président de Tulle' Agglo ont officialisé leur volonté de défendre la ligne ferroviaire  Tulle-Brive-Périgueux-Bordeaux.

Suite à la réforme territoriale, l’accessibilité à Bordeaux est une priorité pour les décideurs et l’activité économique ainsi que pour les déplacements liés au travail, aux études.

Une association de défense

Les 2 co-présidents sont Alexandra Froidefond, dirigeante, créatrice de l'espace co-working "En Mélées d'Idées", récompensée par un prix Madame commerce de France en 2015 et Gilles Gauthier, Président du Syndicat unique des entreprises françaises des viandes en France, Directeur général pendant près de 25 ans.

Etude et association

Les Agglos de Brive, Tulle et Périgueux s’unissent pour 2 raisons

• Financer une étude pour l’amélioration de la desserte ferroviaire
• Créer une association de promotion et de défense de la ligne Tulle-Brive–Périgueux–Bordeaux pour fédérer tous les acteurs : institutionnels, acteurs économiques, société civile

Plusieurs objectifs

• Les 3 communautés d'agglomération souhaitent améliorer le niveau de service au départ des gares de Tulle, Brive et Périgueux : nombre de services, temps de parcours souvent associé à une longue correspondance en gare de Périgueux et par des ralentissements.

• Eclairer la faisabilité technique et financière du projet.

L’objectif est de gagner 1h sur le meilleur trajet entre la métropole bordelaise et la gare la plus éloignée du bassin,

• Evaluer l’impact de l’amélioration des temps de parcours en termes de trafic (fréquentation et report modal), de bénéfices socio-économiques et environnementaux, de régénération simple de l’infrastructure et d’évolution des infrastructures,
• Intégrer l’évolution des modes de motorisation à l’hydrogène, alternative verte au train diesel et au tout voiture.

Ce travail serait mené en concertation et en mobilisant les partenaires de la mobilité concernés notamment l’Etat, la SNCF et la Région Nouvelle-Aquitaine.